Les performances (commerciales ou sportives) ne sont pas uniquement liées à nos capacités à assimiler la connaissance, à maîtriser les techniques ou à gérer nos aptitudes relationnelles.
Dans le domaine sportif, la maîtrise des compétences techniques et des ressources physiques – musculaires – sont des conditions nécessaires mais pas suffisantes à l’obtention de bons résultats.
Il s’agit surtout d’apprécier sans juger (nos propres croyances et conditionnements), d’expérimenter, de goûter, de percevoir et de ressentir de manière positive ce qui se présente à nous, d’accueillir et d’accepter, d’endurer (voire de souffrir), mais en conscience, sans subir.
Savoir faire face à la souffrance et à la pression du résultat fait partie du « package » de cette quête de performances,
« Sommes-nous préparés à gérer nos émotions? »
Aucune école ne prépare à la gestion du stress de manière pratique.
“Occulter ou sous-estimer le rôle de cette pression quotidienne et du stress chronique qui en découle, revient à limiter ses propres capacités d’adaptation, et à terme son efficacité et son taux de transformation.”
Lorsqu’une personne subit la pression du résultat, cela se manifeste de diverses façons, avec des conséquences forcément différentes selon chaque individu (notion de subjectivité).
- Sur le plan physique, le corps peut exprimer à sa manière ce déséquilibre perçu entre les contraintes que l’individu vit et les ressources dont il dispose, qu’il pense maîtriser ou qu’il croît ne pas posséder (croyances limitantes) : « Je n’y arriverai jamais », « Il est bien meilleur que moi » . Cela se traduit par des mains moites, une bouche sèche, la gorge serrée, la poitrine oppressée avec une sensation d’étouffement voire de douleur au sternum (diaphragme raide), la fameuse boule au ventre avant une prise de parole en public, des céphalées, des troubles intestinaux (du simple péristaltisme aux crampes et diarrhées), des tensions musculo-squelettiques, des vertiges …
- Sur le plan cognitif, la perte de confiance en soi peut s’installer lentement et sournoisement. Le petit « moulinet » se met à tourner constamment : “on rumine”, on ressasse le négatif, on perd progressivement ses facultés à réfléchir et à correspondre de manière fluide en face à face.
Cet état de lutte intérieure, insidieuse et incessante, mène souvent à une spirale infernale dans laquelle les missions banales du quotidien peuvent se transformer en parcours du combattant puis en de véritables incapacités : nous avons la sensation de perdre le contrôle de la situation, nous ne maîtrisons plus notre corps.
“Notre corps nous a prévenu, il nous a parlé, il nous a envoyé des signaux… mais nous n’avons pas su les entendre.”
C’est ici que l’on bascule sur le plan émotionnel et sur la nécessité fondamentale du lâcher-prise: Notre cerveau limbique (amygdale), siège de notre mémoire et de nos émotions, entre en « conflit » avec notre néocortex (réflexion).
“La peur de ne pas atteindre les résultats attendus peut devenir obsessionnelle, voire paralysante, et déclencher des crises d’anxiété et des angoisses: Face à des objectifs de plus en plus difficiles à atteindre, une communication managériale inadaptée ou déficiente, des changements de stratégie incessants, l’individu a du mal à maîtriser ses émotions”.
La répétition de ces déséquilibres aboutit à des répercussions à la fois sur le plan professionnel (baisse de motivation, énergie mal canalisée, mauvaise gestion de son organisation, perte de temps, contre-performance…), et sur le plan personnel (fatigue chronique, syndrome d’épuisement (burn-out), troubles du sommeil ou de l’humeur…)
Que doit-on faire ?
- Se montrer suffisamment empathique pour entendre et essayer de comprendre les besoins de l’autre,
- Adapter son mode de communication et son attitude aux attentes de ses interlocuteurs,
- Faire preuve d’intelligence émotionnelle et situationnelle : en appréhendant la problématique dans sa globalité en tenant compte du contexte et des circonstances,
- Faire preuve de créativité dans son management, de bon sens et de pragmatisme, de bienveillance et d’écoute,
- Se montrer plus pédagogue…
Chaque individu étant par essence unique (il a donc son histoire de vie à lui), nous ne pourrons jamais concevoir une méthode universelle .
« Nous avons la solution en nous, il s’agit juste de la révéler ! »
Le sophrologue peut vous accompagner sur ce chemin de la réussite pour faire émerger la “solution” ensemble:
Il vous accompagne vers une dynamique de l’action en vous aidant à verbaliser le : « Comment je peux agir ? », plutôt que de rester dans le raisonnement Cartésien du « Pourquoi je vis cela ? »
Il vous guide pour prendre progressivement conscience des manifestations de votre propre stress, pour apprendre à percevoir, à ressentir et à écouter votre corps et vos propres signaux de « mal-être » afin de développer vos propres capacités de défense: « La capacité de réponse la plus appropriée à la situation qui se présente pour retrouver ou conserver mon équilibre intérieur ». (principe d’homéostasie)
« Notre passé à la valeur que nous lui donnons encore aujourd’hui ! »
En quelques séances de sophrologie, vous allez percevoir et ressentir toutes les sensations (agréables et positives) qui viennent influencer vos actes et votre quotidien et développez votre propre capacité à retrouver votre équilibre : la vitalité, l’énergie, la confiance en soi, l’estime de soi
En retrouvant ce calme intérieur avec votre sophrologue au départ, puis seul (AUTONOME), vous allez lâcher prise, prendre du recul sur les évènements du quotidien, changer de regard sur les choses vécues ou à vivre, sortir de vos préjugés, de vos a priori et de vos conditionnements historiques.
Vous allez apprendre à vivre vos émotions, à les exprimer, à les verbaliser pour qu’elles prennent leur place et qu’elles « jaillissent » hors de vous en confiance (émotion vient du latin motio : le mouvement) pour ne plus les somatiser (maladie= le mal a dit)
Dans cette harmonie retrouvée, vous serez plus motivé et plus enclin à aller à la rencontre de « l’autre », sans préjugés, vous deviendrez plus performant dans vos actes (environnement professionnel, sportif …), plus volontaire et enfin prêt à « croiser le fer » avec les autres: vos fournisseurs, vos collaborateurs ou vos partenaires, avec un regard neuf, une écoute élargie et une bienveillance adaptée.

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